Certains textes sortent tout habillés, casqués comme Athéna. Il y en a d’autres pour lesquels on est obligé d’avoir recours à toute la technologie moderne, de la fécondation in vitro au choix d’une mère porteuse, sans échapper au forceps, à l’unité de soins néonataux, à la crèche spécialisée, puis à l’acné, la drogue, l’insolence … Si j’en crois ma propre expérience, l’impuissance et le doute sont bien plus répandus que les instants d’inspiration joyeuse.
Sinon, tout le monde serait écrivain, vous pensez bien.