On n’a pas fini de s’émerveiller et de se laisser surprendre par le mot et la réalité de l’amour, ici mis en scène de façon dramatique et poétique. L’amour reste cet inconnu, ce méconnu, si souvent bafoué, banalisé, jusqu’à être ignoré en lui-même.
Ici, l’amour est exalté jusqu’au plus sublime. La très haute conscience, celle de l’Absolu, et la conscience amoureuse sont célébrées conjointement comme une seule prise de conscience. Et l’expérience du Beau est au centre de tout ce poème. p.305-306
"Dieu", dit-on, n'est qu'une projection de l'homme, une idée, une création humaine