Ce que Vladimir Vladimirovich a préféré, c’est le voyage de la torche olympique. Elle aura connu tous les ciels, tous les fuseaux horaires, tous les moyens de locomotion…
A son grand regret il n’a pas été retenu pour la porter…
Le président Poutine – lui – ne porte la flamme que pour l’allumer. Ce jour-là, il a l’air heureux, un léger sourire aux lèvres, comme s’il ne pouvait être que légèrement heureux. P 34