Des diplômés quittent l’Afrique où ils sont indispensables, pour aller s’employer dans le monde développé industrialisé où ils sont en surnombre. Or cette « immigration choisie », nouvelle forme de la traite des Noirs, porte sur les plus précieux des Africains, ses diplômés, et elle se fait avec la complicité des gentils de l’anti-ségrégation et des requins du capitalisme associés pour la circonstance.