« Je me rends compte que ne pas croire au bon Dieu, ce n'est qu'une tournure d'esprit, et je ne peux l'admettre. Parce que tout est, partout, pour moi, peuplé par des voix, par les longues phrases murmurées de l'eau. Mon arbre était fait de résurgences obscures, et troué de clartés liquides. Ces voix se répandaient dans le jardin tout entier, et je m'endormais en son milieu, assis sur la fourche épaisse, comme au cœur de la source jaillissante du ciel. »