Mon sang à moi, je m'en fous, il ne m'appartient pas. Tandis que celui de mon fils, c'est moi qui le lui ai fichu dans ses fichues veines, c'est mon affaire, c'était à moi, on n'a pas à répandre mes affaires n'importe comment, dans un jardin public, au pied d'une bande d'imbéciles. Je n'ai plus rien à moi maintenant. N'importe qui marche dans la seule chose qui m'appartenait. Cela va être nettoyé demain matin par les jardiniers. Qu'est-ce qui me reste, maintenant, qu'est-ce qui me reste ?