Souvent le Baron m’énervait. Il avait tant de tics, de manies, de lubies. Il me faisait tant de mystères, prenait un tel plaisir à me faire mariner et tourner en bourrique, se comportait si souvent avec moi comme un maître avec un élève, ou Socrate avec un disciple, ou encore un prestidigitateur avec un spectateur ! Or je ne voulais ni être son élève, ni son disciple, ni son spectateur.
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