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Critiques de Bernard Sigaud (20)
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La cité des permutants

Le livre commence par un jeu de l'esprit

20 phrases anagrammes de Permutation City

Sorte de poème en vers libres sur le titre anglais

Peu importe qu'il soit de l'auteur, d'un programme d'ordinateur ou le fruit d'une intelligence artificielle, j'admire cette pensée ou d'y avoir pensé.

"C'est peut-être un détail pour vous

Mais pour moi, ça veut dire beaucoup

Ça veut dire qu'il était libre"





Développant les questions "Qui suis-je ?", "Qu'est-ce qui me fait moi-même ?", "Comment puis-je me reconnaître ?", "Suis-je défini par un statu, des actes, un nom, des pensées ?" partant du constat que par le renouvellement cellulaire notre corps est en permanente permutation Greg Egan nous emporte dans une science-fiction virevoltante sur la réalité virtuelle : le monde des Copies. Putain de métavers poussé à l'extrême ! Royaume de fous à la recherche d'une immortalité inhumaine. Intelligente réflexion sur les limites de l'infini, une intense approche métaphysique, une lecture ardue hors des sentiers battus, de la science, de la fiction, de la philosophie, je dis : brillant, tout simplement.





Parlons un instant de mon joli avatar en forme de cerveau électrique, embryon au premier stade de Copie, je m'interroge si j'avais choisi comme effigie un Rat et comme prête-nom "de Biblio" quelles conséquences possibles dans les premières demandes d'amitié et les retours, or ne sommes-nous pas fait d'interactions fussent-elles à travers des messages par Babelio, donc un impact sur le "réel". Alors pour une vie dans le métavers, quels impacts ? Evidemment Greg Egan pousse ces concepts bien plus profondément et c'est fascinant.





Content de l'avoir approché par les courtes nouvelles d'Axiomatique plus abordables pour le lecteur très occasionnel de ce type particulier de littérature. Mon avatar aussi apprécie 😉. Grand merci donc aux éditions le Bélial et à Babelio pour cette masse critique "mauvais genre".
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La cité des permutants

En 2045, les modèles de réalité virtuelle se sont raffinés. Il est désormais possible aux milliardaires de se faire numériser, et après leur mort, leur Copie a le pouvoir de communiquer avec le monde réel et de donner ses instructions. Ce processus est promis à un bel avenir et tend à se démocratiser. Il pose aussi un bon nombre de problèmes juridiques et de questionnements philosophiques. Paul Durham est un des chercheurs qui s'intéresse de près à ce que peu ressentir une Copie, et à sa définition exacte : la Copie est-elle une vraie copie de l'individu ? Peut-elle penser par elle-même, avoir des idées propres et faire des choix différents de l'original ? Comment perçoit-elle son univers ?



Si on s'arrêtait là, il y a déjà de quoi se casser la tête pendant plusieurs années sur ces questions. Mais Greg Egan nous emmène beaucoup plus loin dans ces spéculations. En se basant sur des résultats informatiques réels (bien que purement théoriques la plupart du temps), on aborde les automates cellulaires, capables de s'auto-répliquer, et donc également capables de simuler un univers entier, dans lequel émergent des formes d'intelligence différentes de la nôtre. Les Copies étant composées uniquement de chiffres, elles sont également capables de se modifier à volonté, que ce soit leur apparence ou leurs pensées. Se pose aussi une question cruciale : quand on est immortel, qu'est-ce qu'on peut faire pour passer le temps ?



Cette lecture est assez exaltante, mais aussi horriblement compliquée. L'auteur décrit son univers avec beaucoup de détails, mais même en ayant rencontré une grande partie des thèmes qu'il aborde pendant mon cursus, il m'a fallu beaucoup de concentration pour le suivre dans toutes ses raisonnements. Je ne sais pas si des personnes n'ayant aucun bagage informatique pourront apprécier ce livre. Mais ils découvriront au moins que même les sciences « dures » peuvent apporter leur lot de questions philosophiques !
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La cité des permutants

Un livre que je qualifie d'essai de hard SF spéculative.

Pas réellement un roman, même s'il y a des personnages et un semblant d'histoire.

C'est plutôt un exposé magistral, époustouflant sur ce que pourrait donner une réalité virtuelle (RV) et une dématérialisation des esprits, toutes imparfaites.

Vous imaginez ce que l'on met dans ces termes et surtout "imparfaite", surtout lorsqu'on touche à la copie des cerveaux dans des ordinateurs. L'individu se trouve-t-il bien dans la copie, est-il au complet malgré le processus de numérisation ? La vie de la copie se sépare de celle de l'original dès lors que la numérisation est effectuée, ce qui complique les choses. Et l'on peut aller bien plus loin…

La réalité virtuelle nous surprend tout autant, avec des temps différents d'exécution, des interactions plus ou moins fortes au sein des mondes créés. Et nous entrons dans le vertige, pas toujours compréhensible, du dérapage du temps et de l'évolution, de la puissance de calcul, des communications entre les êtres, voire entre le substrat et les machines qui le peuplent.

Beaucoup plus abordable que l'aride Diaspora qui ne contient aucun personnage humain et pas plus d'histoire, ce traité spéculatif sur l'avenir est un incontournable. C'est passionnant pour quiconque réfléchit à ces thèmes et à leurs implications pour l'avenir. Car il ne fait aucun doute que l'on arrivera un jour à ce genre de choses.

Il y a certes une histoire, qui se concrétise sur la fin, mais c'est loin d'être un point fort du livre et loin - selon moi - d'être bien raconté.

Mais j'y ai trouvé mon compte d'éblouissement.


Lien : https://patricedefreminville..
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La cité des permutants

En fait si il ne s'agissait que du propos et des réflexions vertigineuses qu'entraînent sa lecture, 'La cité des permutants' serait selon moi un classique de la science fiction au même titre que 'chroniques martiennes' ou 'Ubik' et pourquoi pas '1984'. Ce qui empêche Egan d'atteindre ce statut c'est son style et sa narration très sèche, confinant à la vulgarisation scientifique. En gros c'est plus scientifico-prophétique que littéraire et ça risque de laisser de marbre le lecteur classique. Pourtant, si on arrive à dépasser cet a priori, on pénètre un univers pixelisé, poudreux, comme du Dick, avec comme valeur ajouté la crédibilité informatique et qui nous hante à jamais.
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La cité des permutants

Greg-Egan suppose comme réalisable la migration numérisée de certains de ses contemporains sur des milliards de planètes originelles reconstituées dans un ordinateur.



Une copie qui en relation avec la puissance de calcul de l'environnement que son modèle lui aurait attribuée à partir de son monde réel, serait alors capable de se réaliser dans un espace virtuel à grande vitesse.



Tous les modèles organiques pourraient rester en contact avec chacune de leurs copies virtualisées à condition de pouvoir comprendre leurs évolutions à long terme, puisque notre histoire liée au contrainte de son espace temps ne défilerait qu'à son rythme.



C'est à dire tributaire d'un parcours contingent et séquentiel beaucoup plus modéré, n'ayant plus aucun rapport avec la vitesse d'exécution surdimensionné de l'événementiel de chaque copie numérisée, boostée par la programmation de son géniteur désirant connaitre son devenir plus rapidement.



Chaque planète formatée sur un disque dur, mettrait en ligne par l'intermédiaire de ses propres instructions son programme source générant sa propre histoire dont chaque copie c'est à dire chaque humain reconstitué deviendrait une simulation de toutes les combinaisons possibles de chacun de leur concepteur bloqué en salle machine.



Le tout servant de passerelle à des milliards de données futuristes interactives entre un archétype organique prisonnier de son époque et ses différentes copies, dont la mission globale serait de constituer un univers absolu.



Nous deviendrions alors les spectateurs passifs de notre futur dans un cosmodrome fictif ou tout pourrait se réaliser en mode accéléré.
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La cité des permutants

Lire de la hard SF est déjà, pour moi, un challenge, mais justement, j'aime me triturer les méninges. Sauf en période d'intense fatigue, de quasi surmenage professionnel et intellectuel, comme en ce moment. Il m'a fallu bien du temps pour venir à bout de ce roman, extrêmement complexe pour mon esprit très littéraire.



J'ai en effet eu bien du mal à ne pas me perdre dans la première partie, entre 2045, qui signe la mise en route des Copies, permettant aux humains de vivre virtuellement, et 2051/2052, qui nous présente l'apogée des Copies et les conséquences que cela entraîne - et si l'on allait plus en loin en créant une ville qui leur serait entièrement dédiée, Permutation City ? -, enfin si j'ai bien tout compris. J'ai aussi eu du mal à m'y retrouver entre les différents personnages - leurs motivations surtout - qui évoluent à travers ces deux périodes, et qui ont tous partie liée avec la genèse potentielle de cette nouvelle ville entièrement virtuelle. Les termes et situations techniques, scientifiques, numériques... sont légion, et m'ont, eux aussi, pas mal déroutée.



J'ai trouvé, au contraire, la deuxième partie beaucoup plus limpide, plus fluide également : est-ce parce que j'ai fini par entrer dans l'histoire, par m'imprégner de son atmosphère ? Possible. J'ai été en tout cas plus réceptive aux enjeux évoqués dans cette partie, qui nous font finalement réfléchir, notamment sur la finitude de la condition humaine et sur la véritable valeur d'une humanité potentiellement virtuelle. Plutôt bien pensé pour un roman publié en 1994.



Une lecture que j'ai trouvée intéressante, mais qui m'aurait été bien plus profitable avec un cerveau plus alerte. M'est avis que j'essaierai de le relire à tête reposée. Je remercie les éditions Le Bélial et Babelio pour la découverte.
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La cité des permutants

j'ai un regretté qu'il n'y ait pas peu plus d'action. C'est un lire fort introspectif et j'ai plus difficile avec les rythmes lents ;-)



Par contre, il y a pas mal de thèmes intéressants à creuser : une copie peut-elle avoir conscience d'elle même ? un programme peut-il innover ? peut-il modifier son propre environnement sans se détruire ? un programme peut-il avoir peur de la mort (l'effacement) ?...



Je crois que c'est un bouquin qui parait anodin au premier regard, mais qui se révèle bourré de trouvailles : par exemple, la copie du type qui revit 100 fois le meurtre que son original à commis par lâcheté, essayant d'y trouver du sens ? de l'expiation ? - elle ne le sait pas elle même.



Enfin la grande question existentielle reste d'actualité : que vaut la vie, si elle n'a pas de fin ?
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La cité des permutants

Ah ! On en lit des choses avec le Hold My SFFF challenge ! J’avais “La cité des permutants” de Greg Egan dans ma PAL depuis un bout de temps : je l’avais trouvé en seconde main en librairie. L’auteur est en effet un grand nom de la science-fiction moderne, spécialisé notamment dans la Hard SF, loin d’être mon sous-genre de prédilection par ailleurs.



Il n’y a pas à dire, Greg Egan s’y connaît en construction prospective scientifique. Le roman est remarquable sur ce point : l’auteur présente un monde qui dévoile une grande complexité. Il donne des détails sur son univers avec une grande précision. Nous sommes dans un futur lointain où il est possible de numériser sa personne pour échapper à la mort, comme une forme de cryogénisation mais en moins pénible et où notre double peut continuer à faire sa vie dans des mondes numériques, voire se re-dédoubler en toute tranquillité. Le principe est donc en lui-même très innovant, même si je en suis pas certaine de comprendre tous les tenants et les aboutissants, malgré des éléments très vertigineux. J’ai mis une bonne centaine de pages avant de rentrer un peu plus dedans.



Le récit aborde de manière très approfondie des éléments technologiques comme philosophiques. Est-qu’une énième duplication numérique de soi-même est toujours soi-même. Peut-on créer un monde qui évolue par lui-même sans intervention extérieure ? Le roman pose également beaucoup de questions sur l’humanité et son avenir, en particulier dans un monde où les ressources sont finies. Mais le roman met aussi l’homme face à sa propre finalité en proposant un monde où la mort disparait grâce aux copies. Le monde est donc pour beaucoup un univers virtuel qui obéit à ses propres règles, peuplées de consciences, ou d’imitations de conscience. L’aspect psychologique des copies est par ailleurs bien détaillée et assez fascinante.



Le principal problème de La cité des permutants est symptomatique de la littérature hard SF, une tendance à l’explication qui étouffe le côté romanesque. Les lecteurs traditionnels sont facilement décontenancés. Je ne suis pour ma part rentrée que très rarement dans l’histoire, l’ayant lu de manière très fragmentée et souvent dans un état de fatigue très avancé. Eh bien ne faites comme moi, ça ne marche pas. La narration très sèche n’aide pas à l’immersion et Greg Egan ne nous prend clairement pas la main. Beaucoup d’explications très scientifiques et métaphysiques sont particulièrement verbeuses, et on finit par y perdre le fil des histoires.



D’autant plus que l’auteur s’amuse à détailler plusieurs arcs narratifs en parallèle, mais de manière confuse. Tellement que je n’en ai parfois pas compris l’intérêt. L’ensemble n’aide pas à s’attacher aux personnages, que j’ai trouvés globalement assez froids et peu intéressants. A part peut-être Paul Durham, qui est un mélange intéressant entre idéalisme, ambition et rigueur scientifique.



Entre vision scientifique et innovante ainsi que des questions métaphysiques profondes, La cité des permutants est un pari ambitieux. Malheureusement, ces partis pris ne sont pas contrebalancés par une histoire passionnante et bien menée. Le roman va donc probablement déstabiliser ceux qui n’ont pas l’habitude de lecture ou en quête de quelque chose de léger. J’ai personnellement pas vraiment accroché, sûrement car la période n’était pas propice à ce type de lecture.
Lien : https://lageekosophe.com/202..
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La cité des permutants

Je crois que j’ai vraiment du mal à saisir le fond de la pensée de Greg Egan.



Pour ce livre, comme pour "Isolation", j’ai l’impression que l’auteur part d’une idée farfelue — à savoir un programme informatique pouvant tourner sans ordinateur comme support matériel ! — et construit autour une histoire bizarre d’entités non-corporelles existant dans un univers multi-dimensionnel que le programme a créé.



Je ne suis pas contre ce genre d’idée loufoque quand elles servent de support à une histoire humoristique ou à des récits décrivant un univers absurde auquel l’auteur ne croit pas.



Mais là, on dirait que Greg Egan croit vraiment à ce qu’il écrit et qu’il est persuadé que ses élucubrations sont possibles, explications scientifiques à l’appui. Et c’est là que le bas blesse ! Mélanger hard-science (genre dont je suis un inconditionnel) et fatras bizarroïde a été pour moi un supplice et je ne peux vraiment pas recommander ce bouquin.
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La cité des permutants

On m’avait pourtant prévenu : la hard-SF, c’est pas facile. De fait, ce roman de Greg Egan est assurément l’un des plus compliqués qu’il m’ait été donné de lire. Il prend place au milieu du XXIème siècle, époque où la possibilité existe (quoique limitée aux plus fortunés) de se faire numériser avant de mourir et d’injecter une copie de soi-même dans un univers virtuel le moment venu. En termes d’implications éthiques et morales, c’est déjà pas mal. Dans le même temps, un chercheur procède à diverses expériences en multipliant les copies de lui-même et une designer tente de prouver que la sélection naturelle est faisable au sein d’un programme informatique sophistiqué. Je vous dis ça mais en fait c’est beaucoup plus alambiqué. Greg Egan explique le tout à grands renforts de termes techniques et de logique implacable, le tout est donc théoriquement à portée du lecteur, mais à condition d’être vraiment très motivé voire d’avoir déjà un petit background derrière soi. Les idées sont pour la plupart brillantes et les enjeux profonds, mais le parti pris d’aller à ce point dans la complexité ne peut que refroidir un tantinet un lecteur non-initié.
Lien : http://nonivuniconnu.be/?p=1..
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La cité des permutants

Après 3 chapitres, je considère « La cité des permutants » comme un livre indispensable, tant les questions philosophiques abordées me semblent passionnantes. Jusqu’au chapitre 16, l’intrigue s’installe très tranquillement jusqu’à une révélation qui me semble particulièrement géniale. On en est alors à la moitié du roman…



Hélas, à partir du chapitre 17, certaines explications me perdent et même si quelques passages me semblent intéressants, cette deuxième partie m’enchante globalement moins que la première.



Plusieurs intrigues enchâssées, certaines apportent d’intéressantes questions. Dans l’ensemble la lecture est exigeante, apporte matière à réfléchir même si c’est parfois au détriment de la narration.
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La cité des permutants

Décevant. La thématique m'intéresse pourtant (la conscience simulée) mais le livre est vraiment confus, utilise un charabia pseudo-scientifique creux. Qui plus est l'intrigue est mal construite, avec plusieurs trames dont on comprend mal l'intérêt et qui surgissent d'un coup d'un seul sans qu'on comprenne pourquoi. Je n'ai pas accroché.
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La cité des permutants

Coup de grand maître : la formidable irruption des mathématiques et de l’informatique théorique dans la spéculation sur la nature et le futur de l’humanité.



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2015/11/09/note-de-lecture-la-cite-des-permutants-greg-egan/


Lien : http://charybde2.wordpress.c..
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La cité des permutants

Le meilleur livre que je n'ai jamais lu. Rien que ça. Un roman difficile, mélangeant technique et métaphysique. Il m a fallu deux lectures pour l'apprécier réellement. Si vous aimez la hard science ce livre est fait pour vous.
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La cité des permutants

hard science intelligente
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La cité des permutants

babelio_id:Egan-La-cite-des-permutants/12701
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La cité des permutants

En lisant ce roman j'ai eu l'impression d'être réduit à une I.A. je connaissait les mots, je pouvais constater leurs enchainements en des phrases mais sans aucune compréhension de l'intention de celle ci = c'est comme si les mots n'avaient pas de liens entre eux même s'ils formaient des séquences, dites phrases, ils restaient autonomes : impossible de faire surgir un sens compréhensible pour moi.

Explications de processus, d'expériences, de situations interminables et incompréhensibles pour mon petit cerveau/intellect/ réduit à l'état de raisin sec. Apparemment je suis passé à coté de ce livre.
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La cité des permutants

On est vite passionné par l’idée initiale. Mais au fil de la lecture, la narration se peuple de termes et de constructions technologiques qui freinent la compréhension et amenuise l’envie de continuer.
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La cité des permutants

Je lis tout Greg Egan (en tout cas ce qui est traduit) parce que je trouve que son point de vu sur la science rejoint celui du nouvel athéisme (en France Onfray, aux états unis surtout...).

Peut être aurais je été rebuté sinon par la technicité mais j'en doute j'ai bien aimé aussi des livres de Greg Bear.

Il me reste à lire Téranésie et Diaspora... Je l'ai jusque là trouvé plus intéressant pour ses nouvelles car son style sec permet d'installer rapidement une histoire. J'ai cependant bien aimé les idées de ses romans. Celui-ci est le meilleur à mes yeux. Il développe ce "solipsisme" auquel se livrent ses immortels (et qu'il aborde dans certaines nouvelles). Sa vision des créateurs de vie dans son Cosmoplexe donne une conclusion savoureuse à mon goût.
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La cité des permutants

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Descriptions








À être une copie de soi-même, est-ce continuer à être soi-même ? C'est la question que se pose Paul Durham tandis qu'il multiplie ses doubles informatiques. Et il fait une découverte bouleversante : c'est qu'un univers virtuel conçu d'une certaine façon n'a plus besoin d'un support matériel pour exister. L'univers réel peut disparaître, le virtuel poursuivra son expansion. Eternellement. Paul Durham se demande avec quels êtres peupler sa Création. La Cité des permutants est probablement le livre le plus novateur de ces dix dernières années. Greg Egan, Australien, est l'étoile qui monte au firmament de la science-fiction mondiale.


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