Sa devise reposait sur l’adage « diviser pour mieux régner ». Gravure de mode, séducteur et hâbleur, à peine plus âgé que Didier, il usait de son charme pour séduire son entourage, le mettre en confiance, multipliant flatteries et félicitations, récompensant les bons résultats… tout au moins au début. Lorsqu’il avait bien endormi ses proies, sourires et flatteries s’effaçaient et le mal-être faisait sournoisement son apparition.