Le lendemain, il faisait très beau. Notre redescente se fit d’autant plus facilement qu’on voyait bien le chemin et même le premier gîte tout en bas. Nous avions tous très faim et le petit déjeuner partagé avec ceux du premier groupe eut un goût extraordinaire, preuve supplémentaire, si nécessaire, que la frustration et l’attente décuplent le plaisir de l’assouvissement.