Là, je commençai à comprendre pour de bon qu'on ne rigole pas avec la mort. Après ça, dès qu'on m'annonçait un passage de vie à trépas, je me contraignais à penser très fort à quelque chose de très triste... des épinards en branches bouillis, par exemple. Les larmes venaient sans problème et cela faisait plaisir à tout le monde.