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Pentalogie du ciel : Cycle des a... tome 1 sur 2
EAN : 9782253139225
502 pages
Le Livre de Poche (06/03/1996)
3.95/5   6212 notes
Résumé :
L'homme a tout exploré : le monde de l'espace, le monde sousmarin, le monde souterrain; pourtant il lui manque la connaissance d'un monde : le continent des morts. Voilà la prochaine frontière.
Michael Pinson et son ami Raoul Razorbak, deux jeunes chercheurs sans complexes, veulent relever ce défi et, utilisant les techniques de médecine mais aussi d'astronautique les plus modernes, partent à la découverte du paradis. Leur dénomination ? Les thanatonautes. Du... >Voir plus
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3.40★ (501)

3 tomes

Critiques, Analyses et Avis (288) Voir plus Ajouter une critique
3,95

sur 6212 notes
Après Les Fourmis, j'ai lu les Thanatonautes afin de voir la conception werbérienne d'un au-delà. Et puis j'ai cessé de lire cet auteur car ses livres sont excessivement longs, avec beaucoup de délayage, alors que davantage de concision donneraient, me semble-til, un style plus accrocheur.

L'idée des Thanatonautes reste quand même génial. Ce voyage au-delà de la mort relié à la vie terrestre par un cordon ombilical qui peut rompre au moindre pépin – et là c'est la vraie mort – m'a séduit par son originalité.

A parir de là, une bonne idée, Bernard Werber est capable de construire tout un monde dans lequel les humains vont organiser des voyages avec retour non garanti.

Les très nombreuses références religieuses et mythologiques soutiennent bien cette idée de départ. Certaines sont plutôt amusantes même les dérapages sont fréquents et semblent s'adresser à un jeune public. Ce n'est pourtant pas le cas de l'ensemble du livre qui est un vrai bouquin de « grands ».

Bernard Werber aborde sous l'angle de l'humour la question de l'éthique et il s'en sort plutôt bien à mon sens.

Un livre plutôt agréable à lire mais dont les longueurs peuvent finir par lasser.
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S'il n'est plus nécessaire de présenter Bernard Werber, Les Thanatonautes n'appartenant pas à ses oeuvres les plus connues (les séries consacrées aux Fourmis et aux Dieux, ses diverses encyclopédies…), méritent une petite chronique. Commencer en décrivant un ouvrage de qualité, bien mené, bien écrit, original, qui se lit sans résistance, qui se révèle être passionnant du début à la fin exception faite de quelques passages un peu décevant (la bataille du 14 mai, la figure de Lucinder, les notes des services de police…), s'impose. Un livre à lire ? Indéniablement et immédiatement, qu'on se le dise !
Écrit au cours des années 1990 et lancé dans un futur proche, le récit n'en parait pas moins intemporel. Sans doute destiné à donner plus de crédibilité au texte, cette projection se révèle superfétatoire et les quelques jalons temporels parviennent difficilement à créer l'idée d'un futur. Et c'est tant mieux ! Car il n'est pas ici question de science-fiction, plutôt d'un hommage rendu pêle-mêle aux découvertes, à la science, aux religions, aux croyances mythologiques. L'ensemble tient-il debout lorsqu'il s'agit de découvrir ce qui se passe après la mort ? Et bien oui !
Il faut certes faire un petit effort pour dépasser certaines appréhensions (les voyages dans l'au-delà depuis un fauteuil de dentiste, les ectoplasmes…), mais l'auteur nous le rend bien. Les personnages masculins et féminins sont tous attachants (et tout particulièrement Stéphania et Michael, du moins dans la première partie de l'ouvrage tant celui-ci bouleverse les clichés habituels du protagoniste médecin). L'utilisation de l'humour pour évoquer la mort, lorsque que c'est un enfant qui tente de la comprendre est tout simplement… risqué mais réussi. Cette phase d'accroche n'est du reste qu'une brillante invitation à poursuivre une histoire haute en couleurs.
L'invitation est bien (trop) vite suivie par le corps du livre : une conquête de la mort, métamorphosée pour cela en nouveau continent. Les balbutiements des débuts, les premières découvertes, les réussites, les échecs, les avancées, l'impact sur le monde… le récit est d'une richesse insoupçonnée. Petite aparté : il est vraiment bon de lire ce livre pour tout(e) Français(e). le texte est encore émaillé de nombreux joyaux (les références mythologiques) tous plus brillants les uns que les autres. Et autant garder le meilleur pour la fin : le talent de l'écrivain pour réussir à concilier science et croyance sans vraiment trancher entre les deux. Les révélations finales et le dénouement, qu'en dire, sinon qu'ils sont à la hauteur de ce qui précède. Une expérience à lire et à vivre, un ouvrage intemporel et contemporain : une très bonne surprise !
Lien : http://kriticon.over-blog.co..
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Ayant rencontré Pierre Taranzano (le dessinateur de cette trilogie) il y a peu, j'ai eu envie de découvrir ce qu'il faisait. Bernard Werber, je connaissais déjà bien entendu mais n'ayant jamais lu son ouvrage "Les Thanatonautes" d'où est extraite cette bande-dessinée, ce fut pour moi l'occasion d'associer les deux !

Ici, le lecteur est plongé dans un univers fantastique, l'exploration de la mort ou, pour être plus précise, de ce qui se passe après la mort. Toutes les religions ou presque croient en une vie après la mort, que ce soit sous forme de réincarnation, d'Enfer et de Paradis et de bien d'autres pays étranges à traverser. Et si tout cela était vrai ? Bien entendu, nous ne le saurons jamais car comme l'on dit souvent "Personne n'en n'est revenu pour nous raconté comment cela se passe après" mais néanmoins, d'après certains témoignages de personnes ayant été dans le coma, il se pourrait que notre cerveau continue à fonctionner et que l'on soit sensible à ce qui nous entoure. Est-ce bien réel, ne sommes nous pas en train de tomber en pleine science-fiction là ?
Pour nos deux protagonistes, Michael Pinson et Raoul Razorbak, il ne fait pas de toute qu'il se passe quelque chose après. Michael, plutôt sceptique dès le départ va finalement se laisser tenter et s'embarquer dans cette aventure pour laquelle ils vont devoir utiliser des cobayes humains, au risque de les perdre tous. Associés au Ministre Mercassier mandaté par le Président qui aurait vécu pareille aventure, tous s'engagent dans une aventure qu'ils ne sont pas prêts d'oublier...La communauté des Thanatonautes est née !

Un graphisme vraiment très bien travaillé riche en couleurs (merci aux dessinateurs et notamment à Pierre Taranzano pour la précision et la qualité de ses dessins qui rendent cette lecture encore plus agréable que ce qu'elle ne l'est déjà) et un scénario, bien qu'adapté du roman de Bernard Werber qui met vraiment l'eau à la bouche ! Un premier tome qui s'avère très prometteur pour les suivants et surtout, qui nous permet, de rêver un peu ! "Et si la vie n'était qu'un éternel recommencement ? " Voici un sujet de philo qui m'a passionné étant plus jeune et qui continue à le faire aujourd'hui...Une lecture que je ne peux donc que vous recommander !
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Dans Les Thanatonautes, j'ai retrouvé la même sensation qu'à la lectures des Fourmis. Les sujet est original, intéressant, bien exploité ,le style est agréable, pas trop compliqué sans être simpliste. Mais qu'est-ce que c'est long ! J'ai eu l'impression que je n'en verrai jamais le bout. Les murs se succèdent, les personnages aussi, et on a l'impression que ça ne s'arrêtera jamais.
J'ai bien aimé les intermèdes présentant la vision de la mort et de l'au-delà dans les différents peuples et religions. Mais là encore, ça se succède sans s'arrêter.
Je suis contente de l'avoir lu, je suis contente de l'avoir terminé. Et toujours avec ce sentiment de contradiction sur cet auteur, je pense que je serai contente d'en lire un autre.
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J'ai découvert Werber sur le tard, l'été dernier avec son premier grand succès Les Fourmis (vous pouvez retrouvez ma critique ici).
J'avais été conquise par son style et m'étais promis de lire d'autres de ses romans dès que l'occasion se présenterait. Voilà qui est fait avec Les Thanatonautes. Je ne m'attendais à rien en particulier et avait bien pris soin de ne rien lire au sujet de ce livre avant de l'avoir refermé.
Et bien quelle déception ! Pour tout vous dire, il m'a tellement peu captivé que j'ai lu les 100 dernières pages en travers !
Je ne remet aucunement en cause le talent de l'auteur que je salue encore une fois, il a la capacité d'inventer des histoires extraordinaires et comme dans les fourmis les recherches nécessaires à la construction de son récit sont remarquables mais je n'ai pas accroché à l'histoire !
Werber est pour un moi un auteur complètement à part, qui produit des oeuvres tellement riches qu'on ne peut être complètement à leur encontre. Je m'explique. Des livres aussi riches que les siens provoquent forcément une multitudes de sentiments, contradictoire parfois. J'avais déjà ressenti cela avec Les Fourmis. Rire, angoisse, tristesse, réflexion, ennui...c'est à mon sens cela qui fait le talent d'un auteur, pouvoir faire réagir son lecteur de divers manières.
Mais revenons à l'histoire, l'idée de départ est exceptionnelle. Découvrir ce qu'il ya après la mort, c'est LE grand mystère de la vie ! Personne ne sait, tout le monde l'imagine, on en a peur tout autant que l'on en est curieux. Je m'attendais à ce que Werber traite le sujet avec brio et j'ai été vraiment déçue. Cela ne décolle pas, il reste dans les grandes lignes de ce que l'on "connait" déjà sur le sujet. le paradis, les anges....c'est un peu trop facile je trouve !
Trop de religions et de clichés sur le thème à mon goût. Je suis cartésienne et athée alors son idée du paradis, de l'archange Gabriel et tout ça, c'était trop pour moi. L'idée qu'il explique « physiquement » un continent où se retrouve les gens qui meurent et bien je n'y crois pas une seule seconde, l'âme qui s'élève au dessus de soi, non plus.
Je m'attendais tout de même à vraiment découvrir un autre monde, quelque chose de véritablement incroyable et plus le récit avançait moins j'étais surprise.
Le récit s'avère très répétitif et les rebondissements n'en sont pas, tout est très attendu. Les liens entre les personnages, les différentes morts, je n'ai eu aucune surprise ! Je savais dès les premières pages qui allait aimer qui, qui allait mourir...
Même dans la façon d'accéder au pays des morts, je trouve que Werber tombe dans la facilité, comme s'il avait eu plein d'idées, qu'il n'avait pas su laquelle choisir et qu'il avait au bout du compte décidé de toutes les tenter. Trop long, trop redondent et au final ennuyeux !
Je m'attendais à une réelle prise de risque et il n'en est rien. Il retrace sur son continent des morts tous les vices et les travers de la société des vivants. On voudrait en retirer quelques réflexions mais il n'en est rien. La fin n'en est pas une ‘je crois que c'est un peu sa marque de fabrique, il tente d'instaurer un faux suspens qui pour moi est tombé à plat. Après la mort il y a …. Et bah c'est pas bien compliqué de le deviner !!! Surtout lorsque l'on sait qu'il y a une suite !
La partie du livre que j'ai préféré c'est le début, que j'ai trouvé très drôle ! La façon dont Mickael se présente, raconte son enfance est d'une ironie certaine. J'ai également beaucoup aimé les paragraphes traitant des divers coutumes et visions de la mort sur les autres continents. C'est très intéressant.
Je ne dis pas que le livre est mauvais, pas du tout, mais simplement l'histoire ne m'a pas transportée comme je l'aurais cru. Werber reste un auteur majeur que je relirais de temps en temps.
Mon beau frère (du haut de ses 16 ans) m'a conseillé la suite, L'empire des anges, qu'il a préféré aux Thanatonautes. Je tenterais peut-être mais pas pour le moment.
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critiques presse (4)
Sceneario
07 mars 2014
Fin de l'aventure qui, par ses choix, ne laisse de toute façon pas indifférent.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
16 janvier 2013
Malgré un rythme parfaitement maîtrisé, le scénario s’avère confus. Entre volonté de maintenir une progression dans les révélations [...], d’assaisonner l’ensemble d’un minimum de romance sans oublier certaines considérations philosophiques, sociopolitiques voire techniques… le tout finit par ressembler à un patchwork sans réelle épaisseur.
Lire la critique sur le site : BDGest
BulledEncre
10 novembre 2011
L’adaptation de cette œuvre majeure dans l’excellente bibliographie de Bernard Werber va sans doute ravir les lecteurs qui ne connaissent pas le livre. Pour les férus, je pense qu’il vaut mieux éviter la lecture de cet album qui ne traduit que trop partiellement la richesse de l’œuvre initiale.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Sceneario
23 septembre 2011
Je suis séduit sans aucun doute par ce premier tome d'une aventure qui, je l'espère, nous entrainera fort loin, dans un domaine où l'imagination des auteurs peut réellement tout inventer, jouant allègrement avec les dogmes, les croyances et les peurs.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (178) Voir plus Ajouter une citation
Ma critique du troisième et dernier tome (je n'ai pas encore réussi à résoudre le problème de la faire accepter en tant que critique à part entière étant donné qu'en critiquant le premier tome, c'est comme si je l'avais fait pour les trois mais tant pis :
Ici, nos trois amis, experts dans l'art de l'exploration de la mort, science appelée thanatonautique, auxquels se sont joints une nouvelle experte, Rose, qui deviendra la femme de Michael, se plongent de plus en plus loin dans l'exploration de ce continent fabuleux que l'on appelle La Mort. Poussés par le Président Lucinder qui finance leur projet et afin de promouvoir sa propre campagne électorale, Raoul, Michael, Rose, Amandine et Stefania s'aventurent au-delà de toute expérience humaine jamais réalisée jusqu'à présent. Cependant, trop de connaissance sur ce qui se passe après peut parfois s'avérer néfaste car cela entraîne toute raison de vivre et de faire ses propres expériences, voire ses propres erreurs par soi-même. Si l'on sait ce qu'il y a Après et quoi faire pour espérer une vie nouvelle meilleure, à quoi bon vivre tout simplement ? Il suffit de faire ce que l'on attend de nous et cela s'arrête là mais ce n'est pas cela vivre. Vivre, c'est apprendre à accepter ses échecs, à commettre des erreurs mais aussi apprendre et cela, au jour le jour.

Un troisième tome à l'égal des premiers, avec un scénario de plus en plus prenant et un graphisme toujours aussi bien travaillé ! Merci aux auteurs et illustrateurs de nous faire vivre l'expérience de Bernard Werber en images et, par la même occasion, de nous faire rêver !
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C'est là d'ailleurs que j'entendis pour la première fois la fameuse expression: "Ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers." Je n'avais que huit ans mais je ne pus m'empêcher de penser : "Alors là, tout autour, il ne reste que les mauvais ?".
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Quel dommage que je ne puisse pas rajouter une critique pour ce deuxième tome étant donné qu'en critiquant le premier, c'est comme si j'avais critiqué les trois d'un coup...Tans pis, je rajoute ici mon commentaire pour cette suite en tant que citation, j'espère, que vous, chers lecteurs, comprendrez qu'il s'agit d'une critique et non d'une citation. Dans ce deuxième tome, les auteurs (et particulièrement Bernard Werber puisqu'il s'agit de l'adaptation de son roman en bande-dessinée) nous entraînent vers des mondes encore jamais exploités de nos jours : ceux que l'on doit parcourir ou traverser selon les croyances avant d'arriver à la mort. Mort : arrêt du cœur et des fonctions vitales de notre organisme car ici, tout les thanatonautes en question meurent une première fois afin d'explorer ce qui se trouve derrière, lorsque notre corps n'est plus là mais que notre esprit l'est encore. Tous font l'expérience de quitter leur enveloppe charnelle pour un temps et d'en ramener les souvenirs ! Incroyable, me direz-vous, pure science-fiction, du délire à l'état pur et pourtant, si dans un futur encore non déterminé, cela devenait réalité ? S'il était possible de choisir l'heure de sa mort et de décider, si oui ou non, nous ne voulons plus revenir sur cette Terre car l'on saurait alors avec précision ce qui nous attend après ?

Pierre Taranzano a su rendre à merveille, avec la qualité de ses dessins, l'ambiance qu'a voulu, à mon sens, créer Bernard Werber et le scénariste également ! Un ouvrage que je vous recommande vivement ! Quant à moi, cela m'a vraiment donné l'envie de découvrir le roman...
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"N'importe qui pouvait prétendre s'être entretenu avec un ange et rapporter de là-haut son petit scoop en forme de coup de tonnerre. On annonça ainsi au petit journal télévisé qu'on avait retrouvé la trace d'Adolphe Hitler. Il aurait été réincarné en bonzaï."
"Je considérai la chose et l'évidence me sauta aux yeux. La vie d'un bonzaï est un supplice permanent. On met une plante dans un pot trop petit pour elle et on coupe ensuite systématiquement toutes les excroissances. C'est la torture d'un végétal élevée au niveau d'un art. Sans eau, les membres sans cesse recoupés, sans place, sans air, sans nourriture, le bonzaï n'est que souffrance.
Contraint à ne pas croître, l'arbuste reste à jamais nain, alors que tout ce qui vit sur cette terre dispose du plus élémentaire des droits qu'est celui de grandir."
"Le plus subtil châtiment pour un abominable criminel de guerre, c'était bien de le réincarner en bonzaï japonais."
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Les gens ont besoin de croire au merveilleux, au surnaturel, qu’il existe autre chose que ce monde matérialiste ici-bas. Alors quelques écrivains, des gourous, des charlatans en profitent pour en faire leur fonds de commerce en racontant des sornettes. Ce besoin est ancré depuis toujours dans l’homme. Les religions en sont la preuve. Il suffit de promettre le paradis dans un futur imaginaire pour que les gens avalent plus facilement l’amère pilule du présent. Crédulité, sottise et naïveté.
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Vidéo de Bernard Werber
Bernard Werber partage la façon dont il a apprit à écrire : en étudiant les autres auteurs.
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