Nationalité : France
Né(e) : 1942
Né(e) : 1942
Biographie :
Expert français de l'industrie nucléaire, conseiller scientifique auprès du groupe AREVA
Après une formation d’ingénieur à l'École nationale supérieure des mines de Nancy et une spécialisation en physique des solides, il effectue son service militaire puis entre au début de l'année 1967 au Commissariat à l’énergie atomique (CEA).
Il a été Attaché nucléaire près de l’Ambassade de France aux États-Unis, directeur des réacteurs nucléaires au CEA, directeur de l’ingénierie à Technicatome, directeur de la recherche et développement à Cogema et directeur de la communication scientifique à Areva. Retraité désormais, il reste conseiller scientifique auprès d’Areva.
Il est professeur à l’Institut national des sciences et techniques nucléaires (INSTN) et président de l'International Nuclear Societies Council (INSC), ancien président de la Société française d'énergie nucléaire (SFEN)) et de l'European Nuclear Society, membre du conseil de l'American Nuclear Society, vice-président du conseil scientifique et technique Communauté européenne de l'énergie atomique et ancien président du Standing Advising Group on Nuclear Energy (SAGNE) à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
2013 "Faut-il renoncer au nucléaire ?", coécrit avec Sophia Majnoni d'Intignano et Claude Stéphan
2011 "Le Nucléaire - Débats et réalités"
2011 "L'Atlas des énergies mondiales : un développement équitable et propre est-il possible ?", coécrit avec Bernadette Mérenne-Schoumaker
2009 "Les 100 mots du nucléaire", coécrit avec Anne Lauvergeon, collection Que sais-je ?
2007 "L'Atlas des énergies : quels choix pour quels développements ?"
2006 "L’Energie nucléaire, comprendre l’avenir"
+ Voir plusExpert français de l'industrie nucléaire, conseiller scientifique auprès du groupe AREVA
Après une formation d’ingénieur à l'École nationale supérieure des mines de Nancy et une spécialisation en physique des solides, il effectue son service militaire puis entre au début de l'année 1967 au Commissariat à l’énergie atomique (CEA).
Il a été Attaché nucléaire près de l’Ambassade de France aux États-Unis, directeur des réacteurs nucléaires au CEA, directeur de l’ingénierie à Technicatome, directeur de la recherche et développement à Cogema et directeur de la communication scientifique à Areva. Retraité désormais, il reste conseiller scientifique auprès d’Areva.
Il est professeur à l’Institut national des sciences et techniques nucléaires (INSTN) et président de l'International Nuclear Societies Council (INSC), ancien président de la Société française d'énergie nucléaire (SFEN)) et de l'European Nuclear Society, membre du conseil de l'American Nuclear Society, vice-président du conseil scientifique et technique Communauté européenne de l'énergie atomique et ancien président du Standing Advising Group on Nuclear Energy (SAGNE) à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
2013 "Faut-il renoncer au nucléaire ?", coécrit avec Sophia Majnoni d'Intignano et Claude Stéphan
2011 "Le Nucléaire - Débats et réalités"
2011 "L'Atlas des énergies mondiales : un développement équitable et propre est-il possible ?", coécrit avec Bernadette Mérenne-Schoumaker
2009 "Les 100 mots du nucléaire", coécrit avec Anne Lauvergeon, collection Que sais-je ?
2007 "L'Atlas des énergies : quels choix pour quels développements ?"
2006 "L’Energie nucléaire, comprendre l’avenir"
Source : wikipedia
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P. 13
Peu d'impasse dans le jeu énergétique
La comparaison des différentes sources d'énergie est intéressante, mais d'une portée limité puisque l'homme a eut jusqu'à présent et aura sans doute encore besoin de toutes ces énergies. Ce qu'il faut, c'est tiré au mieux partie de leur qualité propres en limitant au maximum leurs inconvénients spécifiques. [note de Pégase Shiatsu : les auteurs prêchent en moi une convaincue depuis toujours! enfonçons les portes ouvertes dans l'intérêt e tous et pas de quelques uns! ] Il faut éviter aussi de le gaspiller et améliorer leur efficacité au fur et à mesure des progrès technologiques.
Peu d'impasse dans le jeu énergétique
La comparaison des différentes sources d'énergie est intéressante, mais d'une portée limité puisque l'homme a eut jusqu'à présent et aura sans doute encore besoin de toutes ces énergies. Ce qu'il faut, c'est tiré au mieux partie de leur qualité propres en limitant au maximum leurs inconvénients spécifiques. [note de Pégase Shiatsu : les auteurs prêchent en moi une convaincue depuis toujours! enfonçons les portes ouvertes dans l'intérêt e tous et pas de quelques uns! ] Il faut éviter aussi de le gaspiller et améliorer leur efficacité au fur et à mesure des progrès technologiques.
La montée en puissance des énergies renouvelables
La transition énergétique suppose une montée en puissance es énergies renouvelables. Celles-ci sont diverses et parfois exploitées depuis longtemps, tout au moins sous une forme traditionnelle. Certaines ne servent qu'à produire de l'électricité tandis que d'autres permettent de créer parallèlement de la chaleur, du froid ou encore des biocarburants. Mais toutes à des degrés divers, devraient permettre de modifier en profondeur le système énergétique.
La transition énergétique suppose une montée en puissance es énergies renouvelables. Celles-ci sont diverses et parfois exploitées depuis longtemps, tout au moins sous une forme traditionnelle. Certaines ne servent qu'à produire de l'électricité tandis que d'autres permettent de créer parallèlement de la chaleur, du froid ou encore des biocarburants. Mais toutes à des degrés divers, devraient permettre de modifier en profondeur le système énergétique.
Toutefois une question majeure semble de plus en plus dominer : celle des impacts environnementaux liés à la fois à la production et aux utilisations des énergies et plus spécifiquement les émissions des gaz à effets de serre à l'origine des changements climatiques. Réduire drastiquement ces GEZ devient donc le plus grand défi pour demain.
La sûreté est un frein à la rentabilité économique du secteur nucléaire. De fait, les populations veulent des exigences de sûreté maximales, et l'industrie veut une rentabilité maximale : ces deux logiques sont contradictoires, l'une l'emportant toujours sur l'autre.
On estime que la quantité d’huile récupérable des sables de l’Alberta dépasse les 40 Gtep et que celles de l’Orénoque sont du même ordre de grandeur. Par comparaison, les réserves de pétrole récupérables en Arabie Saoudite seraient de 36 Gtep.
Mais on ne parle pas de produits équivalents : pour extraire et transporter 50 tonnes de brut saoudien, il faut en dépenser 1 tonne. Le chiffre est plus près de 20 à 50 quand on produit un brut équivalent à partir de sables asphaltiques.
Mais on ne parle pas de produits équivalents : pour extraire et transporter 50 tonnes de brut saoudien, il faut en dépenser 1 tonne. Le chiffre est plus près de 20 à 50 quand on produit un brut équivalent à partir de sables asphaltiques.
Il est urgent de changer de paradigme. Il ne s’agit pas de « sauver la planète » : depuis quatre milliards et demi d’années, la Terre à survécu à des transformations d’ampleur plus importantes, mais il s’agit bien de sauver l’humanité qui, elle, est beaucoup plus fragile !
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Régis Franc est connu pour sa BD sociale ..........?............. je sais ça vole pas haut
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