Porter ne se contentait pas de coordonner l'agenda exécutif et de gérer les documents destinés au président.
Comme il l'expliqua à un collègue, "un tiers de mon boulot consistait à essayer de contrer certaines de ses idées les plus dangereuses et à lui donner des raisons de croire qu'elles n'étaient peut-être pas si bonnes que ça".