Bronwyn Scott

Quand j’ai emprunté ce roman, je n’avais pas connaissance qu’il est le sixième tome d’une série. Il y a deux récits, celui de la famille en trame de fond et la romance de Lady Phaedra. L’histoire de fond m’a plus intriguée que l’amourette convenue d’une jeune aristocrate en pleine rébellion. Le nouveau palefrenier est bien évidemment le prince charmant, même s’il ne veut épouser personne. Le mystère de la disparition du frère aîné est plus passionnant, tout comme sa veuve et son bambin. Un voisin manipulateur pas très doué vient compléter ce tableau. Je crois que ce gredin fera encore parler de lui dans la suite de cette saga familiale. J’ai choisie ce genre de lecture pour arrêter de lire des choses tristes. Je suis restée simple spectatrice de ce petit conte. Je n’ai pas rit ou pleuré, car le schéma narratif est plat. Un envie de lire la série me tenaille pour connaître les secrets de cette famille ducale. Pourtant, je sais qu’à chaque fois, j’aurais une romance fade. Vais-je chercher les autres tomes ? C’est encore incertain. Je ne peux pas recommander cette lecture ni la déconseiller. Je vous laisse seul juge.
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Romance Harlequin sympathique, agréable et qui se lit bien. RAS.

Un très bon récit qui nous plonge vraiment au XIXe siècle grâce aux paysages et détails précis. Les personnages sont bien développés, Primrose a du caractère malgré son apparence fragile. L'histoire tourne surtout autour des projets de Cassian et ses dilemmes intérieurs. Le duo de personnages fonctionne très bien et l'ensemble, très accrocheur, est difficile à lâcher avant la fin. C'était super bien!

Après un début que j'ai trouvé un peu laborieux, Anna étant un peu lassante, l'histoire prend une tournure plus active jusqu'à la fin, un peu précipitée et abrupte à mon goût. J'aurai aimé en savoir plus sur le sort de certains personnages. Un épilogue global de la série aurait été bienvenu. Une lecture agréable.

Un tome qui se laisse lire malgré quelques longueurs dans la première partie de l'histoire. La seconde partie fait preuve d'un peu plus d'action, même si l'arc final semble un peu trop facile à mon goût. L'histoire de Ruslan et Dacha est cependant attachante. Lecture sympathique.

J'ai lu ce livre car un petit Harlequin ça change après de la Bit-Lit et de la Dystopie. Très belle couverture, très beau jeune homme et qui correspond bien à la description du personnage ^^



C'est une romance classique donc lu et relu mais ça fonctionne sur moi. J'ai bien aimé Merrick qui a, malgré son comportement, de l'honneur et il cherche avant toute chose à être libre. J'ai apprécié Alixe, qui elle aussi recherche la liberté et se rebelle contre la place de la femme dans la société de l'époque. J'hésite quand même sur une chose : était-il vraiment nécessaire et logique de la faire "coucher" aussi facilement avec Merrick ? C'est un peu trop "moderne" à mon goût par rapport à l'époque de l'histoire. Certes, c'est logique par rapport à son caractère, sa rébellion mais c'est un peu trop poussé quand même je pense. Mais ce n'est que mon avis ^^



Agréable lecture, qui m'a permis de faire une petite "pause" dans mes lectures plus habituelles ^^

Voilà un Harlequin intéressant. Tessa est une fille de diplomate avec un caractère très prononcé et un fort attachement à son indépendance. Avec elle, rien n'ira comme le souhaite Peyton Ramsden. Ces deux personnages jouent au chat et à la souris ensemble, mais également avec des ambassadeurs russes. Le lecteur est emporté dans cette histoire d'espionnage. Le récit est bien mené et bien traduit. Même déshonorée, Tessa refusera toutes les demandes que lui fait le comte, particulièrement les demandes en mariage. Ne cherchez pas de descriptions de combats, il n'y en a pas. Par contre, le lecteur a le droit de lire le déroulement de la fête d'anniversaire de Peyton. Il fête ses quarante ans et on a un aperçu de sa vie de famille. C'est mignon et cela enlève tout sentiment de frustration.

Une romance aux accents russes, très classique aussi bien dans la forme que dans le fonds. Pas de surprise, l'idylle se déroule selon le plan habituel : les personnages qui s'attirent à leur corps défendant, qui s'aiment et arrivent au happy end, malgré le méchant qui se dresse sur leur route. Pas surprenant donc, mais tous les éléments attendus dans ce type de roman sont présents et ce n'est pas trop mal écrit (on est loin du Goncourt quand même).

Une histoire qui souffre de longueurs au début mais qui décrit les codes stricts de la haute société. Ou comment une femme tente de contrer son destin d'être mariée pour un titre. Sympathique même si j'ai trouvé la fin un peu facile.

Une romance bien sympathique et dont on se laisse prendre par l'histoire. Les héros sont attachants et les événements s'enchaînent rapidement, ce qui laisse peu de temps mort. Belle lecture.

Une couverture assez simple mais le fait qu'elle représente le roman est dans l'ensemble un bon point. Comme il s'agit d'une suite de série, je n'ai pas pris le temps de lire le résumé car je voulais avoir la surprise de découvrir le personnage principal du récit.



Tout comme pour le deuxième roman, j'ai trouvé que celui-ci était encore meilleur que le premier opus. Les rebondissements sont vraiment nombreux et l'auteure ne nous laisse pas nous ennuyer une seule seconde et c'est pourquoi j'étais agréablement surprise. En effet, j'avais un peu peur que l'auteure ne replonge dans ses travers et qu'elle nous livre un troisième opus digne du premier (attention : humour).



Une histoire qui aurait pu tomber dans les clichés car il s'agit encore une fois d'une jeune femme offerte par un membre de sa famille à cause de dettes. Cependant, l'auteure est parvenue à se distinguer des autres pour ma plus grande joie. Les pages se sont vraiment enchaînées très rapidement et on ne peut pas faire autrement que de lire le troisième tome d'une seule traite.



Par contre, ce que je regrette un peu, c'est le fait de ne pas avoir la possibilité de retrouver les autres couples et comme j'ai vu que le suivant serait le dernier opus, j'espère que les quatre couples seront réunis au moins dans l'épilogue pour que tout se termine pour le mieux. Les personnages de "La belle de Sienne" m'ont vraiment manqué mais j'ai été heureuse de découvrir ce nouveau couple (enfin, principalement la fille ;) )



Alors que Nolan joue aux cartes à Venise en Italie, il ne s'attendait pas à gagner lors d'une partie la virginité d'une jeune femme. Voyant qu'elle est surprise de la proposition de son beau-père et pas vraiment heureuse de servir de monnaie pour une partie de cartes, Nolan décide de tout faire pour gagner afin de la libérer du joug du comte.





Gianna est de très loin la jeune femme fragile qu'on pourrait croire. Elle n'hésite pas à tenir tête à son beau-père même si pour se faire, elle se met en danger. C'est une jeune femme qui n'a pas froid aux yeux et qui sait jouer de ses charmes pour parvenir à ses fins. Une héroïne vraiment courageuse.



Nolan n'est pas hésité à venir en aide à Gianna lorsqu'elle en avait besoin. Je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'il ait ce genre de comportement surtout après l'avoir suivi dans les deux autres tomes. Il m'a totalement séduite et j'avoue, j'étais un peu jalouse de ne pas être à la place de Gianna pour profiter de cet homme.





En résumé un avant-dernier tome qui reste heureusement dans la lignée du second. J'ai passé un bon moment de lecture, et maintenant, j'ai hâte d'avoir l'histoire sur Brennan !

J'avais choisi ce livre avec beaucoup de nostalgie, me souvenant des romans Harlequin que j’aimais lire avant. Je l’ai commencé sans grande conviction, déterminée à vider ma PAL, mais j’avais oublié combien j’aimais les romances historiques de cette maison d’édition ! J’ai au final passé un moment délicieux qui m’a donnée envie de dévorer la collection ‘Les Historiques’ de chez Harlequin. (Cela devra cependant attendre que ma PAL désemplisse…)



Dans ce roman, le comte de Dursley, Peyton Ramsden, s’octroie la tutelle de Tessa Branscombe et de ses trois soeurs. Par cette action, il cherche à se rapprocher de la famille afin de récupérer une liste qui met en danger la Grande Bretagne, et qui ne doit surtout pas tomber entre les mains des Russes. D’ailleurs, la Russie est présente dans cette chasse au trésor en la personne de Sergei Androvich, un ami proche du défunt père de Tessa. Les amis deviennent des ennemies et ceux que nous détestons finissent par partager notre lit. C’est un bon résumé de la situation.



Il n’y a pas de surprise particulière, on sait dès le début où sont les bons et derrière quels masques se cachent les méchants. Je n’ai donc pas été étonnée de m’attacher à Peyton qui a toutes les qualités nécessaires à un bon personnage masculin d’époque. Parfait gentleman, il perd néanmoins ses manières face à la divine Tessa et cette faille combinée à son charme fou font de lui un personnage terriblement attractif. Je n’ai pas autant aimé Tessa, mais je dois reconnaître qu’elle a du caractère et du coup sa relation avec le compte de Dursley est encore plus plaisante.



« – Eva dit que vous et moi nous disputons tout le temps.

– Seulement parce que vous n’êtes jamais d’accord avec moi.

Peyton se risqua à cette petite taquinerie, savourant la paix de ce moment. »



Ils sont un peu comme chien et chat, tout en partageant un cruel désir qui leur complique fortement la vie. C’est exactement le type de relation qui me plaît, électrique, passionnée, mais aussi amusante.

Les autres personnages ont eux aussi des caractères intéressants et si Paine (un des frères de Peyton) et Julie (sa femme) sont un peu oubliés car un autre tome leur avait déjà été consacré (‘La nuit du scandale’), l’auteure a su éveiller ma curiosité concernant Crispin (le second frère de Peyton) et je me laisserai volontiers tenter par le volume qui parle de lui.



Entre affaire d’état, romance et anecdotes liées au rang social des protagonistes, le lecteur a de quoi s’occuper l’esprit. Et puisqu’il s’agit d’une romance historique, on se retrouve à une époque qui a de quoi nous faire rêver, avec une autre éducation, un autre style de vie et même une manière de parler et de se comporter qui est très différente d’aujourd’hui. C’est ce qui me plaît dans ce genre littéraire, que l’éducation de l’époque les empêche de se jeter l’un sur l’autre dès la première rencontre. Je préfère une relation amenée en douceur à une trop précipitée comme on en lit dans la romance contemporaine, c’est plus excitant.



Quoi qu’il en soit, même si j’ai parfois trouvé que le langage n’était pas parfaitement adapté à l’époque — simple ressenti, c’est très léger — et que tout reste assez prévisible, j’ai beaucoup aimé ce livre et je l’ai même dévoré. Il remplit son contrat. C’est exactement ce que j’attends d’une romance historique, et les amateurs du genre prendront probablement beaucoup de plaisir à le lire.
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