Pour des garçons élevés par des pères qui tiraient au fusil dans le but de mettre des tourterelles et des cailles sur la table en hiver, ou qui levaient leur carabine pour abattre un cerf ou pour empêcher un coyote d'emporter leur veau, les armes étaient des outils, et on ne s'en servait que quand on ne pouvait pas faire autrement.