Il était vain de nier que Layla ne me laissait pas indifférent. Je me demandais d'ailleurs qui aurait pu l'être tant cette femme dégageait quelque chose d'unique et envoûtant. Elle possédait un charme certain et quelque chose que je ne parvenais pas encore à identifier, comme une sorte d'aura attractive. Elle était de ces femmes qui n'avaient pas besoin d'en faire des tonnes pour plaire et attiser le désir des hommes. Une beauté au naturel, douce et forte à la fois.