« Ma mère affirmait souvent que le temps guérissait toutes les blessures — comme si le temps était une infirmière en blanc, aux mains douces, qui s’affaire autour de nous et nous sert du bouillon chaud, et non une faucheuse qui nous guette où que nous allions. Qui attend le moindre faux pas pour nous arracher à la vie. »
(Calmann-Lévy, p.333)