Le pire n'était pas les coups cependant. C'était de vivre dans l'ombre des coups, d'attendre la fois suivante, le poing suivant. et le plus cruel était qu'il le savait très bien et qu'il jouait avec sa peur. Il levait la main pour frapper, puis laissait le coup se transformer en caresse et en sourire. parfois il la frappait sans la moindre raison apparente. comme ça, des coups venus de nulle part.