A Sanary, mon beau-père se moquait de sa mère Colette qui, clochette à la main, sonnait le personnel pour débarrasser la table. Il m'apprenait qu'"autorisé" et "interdit" relèvent d'une affaire personnelle. Il me disait respecter immensément mon père mais riait avec moi de toutes ses conneries.
A Sanary aussi, mon beau-père embellissait ma vie.