La grande maison, la dune semblent ensevelies dans la cendre. Une brume ténue, comme le clair de lune.
Mariano Paulo retire les mains de ses oreilles. Les grenouilles continuent à coasser. Leur cantilène faiblit parfois au point de s'éteindre. Des pauses d'extrême silence. La lueur des cierges se dilue le long du couloir, parvient à peine jusqu'à sa chambre. Le clair de lune de Corrocovo est d'un brun sale.