Anna, dont la tête tournait un peu de pouvoir admirer sans retenue ni barrière ces objets étrusques posés avec une désinvolture étudiée, se sentit prise de vertige à l'idée qu'il y avait sans doute quelque part dans cet appartement et dans les multiples coffres de la fondation Borelli d'autres pièces encore plus précieuses pour nécessiter qu'on les mette à l'abri.