Car détruire l’écosystème qui les faisait vivre ne suffisait pas. La guerre de l’humain contre l’animalité s’était répandue sur tous les continents : pièges, lances, poisons, fusils, armes automatiques et engins de guerre, les champs de bataille étaient jonchés de cadavres de rangers morts en mission et de braconniers anonymes manipulés par des trafiquants intouchables.