La mode est et a été un éternel retour cyclique de l'imbécilité qui durera tant que l'avenir durera longtemps (surtout vers la fin). C'est comme une finalité sans fin, sauf que là, il n'y a pas de finalité non plus, il n'y a rien. Il faut habiller ce rien pour qu'il y ai quelque chose. Et à perdre son temps pour rien, autant le faire bien, en s'amusant. On va donc revêtir rien de la multiplicité des possibles en termes de surfaces et de parures, pour que deux riens puissent se distinguer l'un de l'autre, pour que tel rien puisse paraitre plus jeune, etc... C'est la définition de la superficialité, ce qui n'intéresse que la superficie, la surface.
La mode est une plaie, heureusement, elle est superficielle.
En dehors de ça, ce livre aborde relativement bien tout les aspects de cette discipline même si la plupart du temps il ne se défait pas de l'idiolecte de celle-ci et n'explicite pas beaucoup de vocabulaire qui lui semble évident.
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