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Citation de zellereb


La première fois que mes doigts frôlèrent l’ivoire blanc et noir des touches, j’eus envie de pleurer. La belle dame, assise à côté de moi et qui sentait le patchouli, était en train de m’apprendre un nouveau langage, capable d’emplir l’air mieux que la voix encore. La musique pouvait elle aussi raconter des histoires tout en y superposant des couleurs et des nuances infinies. Très vite je sentis que dans l’intervalle minuscule, situé entre chaque touche blanche ou noire, se cachait un pays lointain. Un pays de contes et de nuits bleues, de sultans, de djinns.
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