Froiseterre, le 22 novembre 1915
Monsieur Cendre, cher maître, (...)
Monsieur Cendre, votre salle de classe me manque tout comme vos yeux sévères. Les heures de retenue, le laboratoire de chimie et son affreuse odeur de soufre, les grenouilles disséquées, la cacaphonie du réfectoire, les grands chênes dans la cour me somment de me souvenir de la vie. (p. 17)