Mais il y aura de nets reculs. À certaines secondes et en des lieux inconvenables, sans crier gare, des rivières sur les joues, chante Souchon ; elles seront des crues gigantesques de n’avoir pas pleuré une semaine et auront une allure sans fin faisant croire au recommencement vif, plein et vengeur des morsures, pourquoi pas d’ailleurs. Je les accueillerai volontiers, qu’elles m’étrillent à nouveau ; laisse aller, disait papy Lulu, la vie est une valse.