Chantal Reichel

Imagine, une espèce de jeu de société ou un jeu de rôle un peu particulier. Un pays expérimental miniature avec de toutes petites villes couvertes de dômes.
On remettrait à chaque visiteur à l'entrée, des coupons d'air à rjespirer, d'eau pure à boire, de nourriture, de santé physique, de santé mentale et d'argent: de l'argent de Monopoly.

Durant leur séjour, les vacanciers devraient choisir leurs options. Ils utiliseraient des coupons pour manger. Mais selon leur sélection ( restaurant ou épicerie, légume ou viande, achat local ou importation, juste quantité ou gaspillage) cela diminuerait ou augmenterait non seulement le nombre de coupn de nourriture, mais aussi celui de leurs coupons santé physique, santé mentale, air pur à respirer et eau pure à boire.

Le but du jeu, bien sûr, serait d'accumuler le plus possible de coupn d'air, d'eau, de nourriture et de santé, physique et mentale, afin de maintenir son personnage en vie. Ceux qui auraient tendance à choisir l'argent risqueraient de manquer de tous les autres coupons.

Lorsqu'un nouveau député est élu, au lieu de se mettre tout de suite au service de la population, il passe un mois à chercher des locaux, s'acheter bureaux, ordinateurs et tout le tralalal, à faire installer téléphone et internet avec frais d'installation et à engager de nouveaux employés. Puis, quatre ans plus tard, s'il n'est pas réélu, il vend tout en vrac, jette les employés à la porte avec prime de départ et il organise le festival de la déchiquteuse. Qui a pu inventer quelque chose d'aussi absurde? Quelle perte de temps, de transparence, d'efficacité et quel énorme gaspillage d'argent!
Dans mon imaginaire idéal, le bureau de comté, tous les équipements de bureaux, les branchements de téléphone et internet ainsi que le personnel resteraient toujours les mêmes! Le nouveau député pourrait commencer à travailler tout de suite après l'élection.

il existe tout plein d'auteurs québécois passionants. Des originaux, des talentueux, des rigoureux, des imaginatifs, des enjoués, des rigolos et des profonds. Du talent à revendre! Veillons, à la maison, dans nos bibliothèques et à l'école, à éveiller l'intérêt pour la littérature de nos jeunes à partir d'auteurs qui leur ressemblent.

Un enfant mérite jque l'on écoute ce qu'il a à dire, non pas d'une o;reille résignée ou distriate, mais sincèrement attentive à ses besoins. ''L'enfant est le seul être qui exige que l'on se mette à genoux pour s'élever à sa hauteur''

Plein de choses clochent. En premier lieu cette idée bizarroïde selon laquelle les enfants se retrouvent dans l'obligation de s'adapter à l'école et non le contraire. On tente de faire entrer les enfants dans un moule.