Durant les années 2008 et 2009, une publicité financée par des groupes écologiques représentait le Liban sous les traits d’une superbe jeune femme recevant progressivement des coups, des blessures, des plaies, des échardes, jusqu’à en être défigurée et rendue horrible à voir. La publicité choqua, et on l’interdit. Pourtant, le visage défiguré du pays était sous nos yeux en permanence et le travail de destruction tous les jours accru.
(Chapitre 31)