Écrire est une forme de survie, une nourriture, une vitamine, une boisson, une baise torride (...) Tout ce dont j'ai besoin c'est du papier, des rubans de machine à écrire, quelque chose à bouffer et un endroit où squatter - avec de préférence une fenêtre qui donne sur la rue, pas de chiottes sur le palier et une proprio avec de belles jambes qui lui font chuinter les cuisses et derrière laquelle on peut se glisser de temps en temps, elle contre moi, ici et là.