Je me promenais dans toute la bibliothèque pour y trouver des bouquins. C’était un par un que je les retirais des rayons. Sauf qu’à chaque fois je me faisais avoir. Ils étaient tous parfaitement assommants. Ce n’étaient que page après page des mots qui ne voulaient rien dire. Et quand parfois il leur arrivait de dire quelque chose, cela leur prenait tellement de temps pour y parvenir que lorsqu’ils y réussissaient enfin, on était déjà tellement fatigué que ça n’avait plus aucune importance.