A l’université de Los Angeles, juste avant la seconde guerre mondiale, je posais au nazi. Je faisais à peine la différence entre Hitler et Hercule, et m’en contrefoutais. Simplement, j’en avais marre d’écouter les prêchi-prêchas des patriotes nous haranguant pour liquider la bête. Je décidai de devenir l’opposition. Je ne me donnais même pas le mal de lire des trucs sur Adolf, je me contentais de déblatérer toutes les insanités et les horreurs qui me tombaient sous la main.