Alors que la plupart d'entre nous étions déjà, dès le premier combat, bien partis, mais d'une ivresse bon enfant, tétant nos cigares, on savourait les joies de l'existence, et on attendait qu'ils envoient deux garçons sur le ring
- cruel direz-vous, mais c'est ainsi que va le monde-, nous aussi, on en prenait plein la gueule et pourtant on était encore vivant...