La belle Domenica, amorale et fantasque, aimait trop les hommes pour se contenter d’un seul. Son inconduite notoire défrayait le quartier. Son mari, sans cesse humilié dans sa dignité, cédait, la place à ceux que sa femme recevait en son absence. C’est la raison pour laquelle, à l’heure où les autres se montraient, il préférait s’en aller plutôt que de livrer un combat qu’il faudrait reprendre sans cesse avec l’assurance d’y être toujours vaincu.