Les Italiens mangent, les Français causent, les Allemands fabriquent et les Russes, eux, souffrent. La souffrance, c'est leur point fort, et ils n'ont plus, à présent, de culture pour faire tampon. Pas vraiment de tradition culinaire. Pas d'étiquette. Tout le monde veut foutre le camp. Il faut voir les prostituées de luxe dans les hôtels à touristes. De vraies beautés. On les regarde et on se dit que les Russes ont vraiment mis la fine fleur de leurs filles au tapin.