La terrible beauté et la puissance de ce court récit résident dans le flou halluciné qui rend compte de ce que fut la vie à Treblinka, sans que d'autres témoignages ou des connaissances savantes interfèrent. Des hommes courent sans cesse sous les coups de fouet, coupent des cheveux de femmes, arrachent des dents de cadavres, courent encore en transportant des corps décomposés.
Annette Wieviorka, dans la Préface