La salle des professeurs est allumée, j’entre, elle est déserte. Odeur des livres, je regarde ces titres qui eurent un temps du succès, ces noms oubliés sur une étagère. Je devrais pourtant savoir qu’une poignée de pages imprimées ne sauvent pas de l’oubli, même si un livre peut provoquer, au-delà des années, des siècles, le miracle d’une rencontre . (p. 41)