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Critiques de Christian Gossett (6)
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The Red Star. Tome 2

The red star est un ovni dans la production de comics, à la fois par ses éléments créatifs et par sa vie éditoriale compliquée.

La série comprend:

– Battle of Kar Dathra’s Gate (correspondant aux 4 premiers épisodes reliés dans le premier tome publié chez SEMIC).

– Nogorka (correspond aux épisodes 5 à 8 publiés dans le volume 2 chez SEMIC).

– Prison of souls (inédit).

– Sword of lies (inédit).

Les deux derniers volumes ne sont disponibles à la vente que sur le site du studio en VO, ou en prix spéculé sur les sites d’occasion… Des one-shot courts dans l’univers de Red star sont parus, jusqu’en 2013 et différentes rééditions collector sont éditées par l’auteur. Attention, la complexité des textes rend la lecture en VO un peu compliquée.



Dans un univers fantastique inspiré de l’Union soviétique, Maya, une sorcière officiant dans l’Armée de l’étoile rouge comme « générateur d’énergie » des formidables forteresses volantes, se remémore la bataille de Kar Dathra durant laquelle son marin le héros de guerre Marcus a péri. Lorsqu’elle apprend que la divinité protectrice de l’Union des Républiques de l’Etoile Rouge a sauvé Marcus, elle entreprend une odyssée pour le retrouver.



Cette série fut l’une des premières à être conçue en studio avec l’aide de l’ordinateur pour les éléments techniques. Il s’agit d’une vraie réussite tant graphique que thématique, de part les liens avec l’histoire récente qui créent un certain réalisme et le caractère épique de cette histoire mythique et guerrière. L’alliance de traits proches du crayonné, de visuels souvent époustouflants et des bâtiments et engins parfaitement rectilignes dans un design industriel, ne laisse pas de marbre dans un paysage des comics où l’originalité est rare. Les éléments d’une grande histoire tragique sont là avec cette guerre perdue dans le territoire nationaliste d’Al Istan (inspiré de l’Afghanistan ou de la Tchétchénie), les mensonges d’une nation construite sur des mythes, la bataille des divinités protectrices et la quête de Maya pour retrouver l’esprit de son mari avec les éléments de l’amour universel… le tout porté par un design réellement réussi.

Le fait d’avoir associé le côté historique et austère avec des éléments de fantasy (des sorcières destructrices, des esprits, des entités divines bien réelles) renforce l’attrait en permettant d’en faire à la fois une série grand public et exigeante. Je vous la conseille vivement, même si vous devez vous contenter des deux premiers épisodes publiés chez SEMIC, avec l’espoir qu’un grand éditeur français voit l’intérêt de publier l’intégralité dans un format chouette!
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Star Wars - La Légende des Jedi, tome 6 : Rédem..

Rédemption, c'est l'histoire typique de Star Wars. Un Jedi qui a tombé du côté obscur de la Force obtient sa rédemption en accomplissant une bonne action. Ici, c'est Ulic Qel-Droma qui obtient son pardon en formant la fille de Nomi Sunrider.



J'adore Star Wars mais je dois avouer que je commence à en avoir marre de ce type d'histoire. C'est redondant et minimise l'acte de Luke envers son père. Yoda disait qu'après avoir tourné du côté obscur, on était à jamais soumis à son pouvoir. À lire les livre de la Saga, on voit bien qu'il n'en est rien.



Les images sont très biens par rapport aux tomes précédents de la série. En général, ce n'est pas mauvais mais ça reste du réchauffé.
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Star Wars - La Légende des Jedi, tome 1 : L'âge..

(critique des tomes 1 et 2 du cycle)



Ces deux premiers volumes du cycle de « la légende des Jedi » forment une intrigue complète consacrée à Jori et Gav Daragon. Ils cherchent la gloire et la richesse et, pour se faire, ne trouvent rien de mieux que d’effectuer un bond dans l’hyper-espace sans savoir où ils vont. Pas de bol, nos frères et sœurs (tiens donc) aboutissent dans le légendaire Empire Sith où Naga Sadow tente de s’imposer comme le seul et légitime Seigneur Noir. A côté de ça nous avons une autre intrigue consacrée à la Reine Teta qui tente de pacifier et maintenir une République fragile en ces temps troublés.

Bien sûr, nous sommes dans le très lointain passé d’une galaxie très lointaine, environ 5 000 ans avant les événements décrits dans les films « Star Wars ». Pourtant, nous retrouvons des points communs assez évidents avec ces frères et sœurs aux capacités de Jedi encore inexploitées qui se retrouvent dans une guerre galactique un peu « à l’insu de leur plein gré ».

Si nous sommes cinq millénaires avant le « canon cinématographique » de la saga, les fondamentaux sont présents, parfois agréablement modifiés : les vaisseaux spatiaux ont un design plus organique et élégant, les sabres lasers sont alimentés par une petite batterie portative, etc.

Kevin J. Anderson possède du métier et un savoir-faire solide (à défaut de se montrer toujours très original ou inspiré comme en témoignent ses préquelles à DUNE qui lui valurent une assez mauvaise réputation chez les amateurs exigeants de SF) et ces deux tomes sont donc corrects et plaisants. On sent que l’auteur connait bien l’univers, qu’il sait adroitement l’exploiter en empruntant de ci, de là pour livrer une intrigue nouvelle et pourtant très référentielle. Disons que le bonhomme annonce ce qui sera reproché à la post-trilogie Disney : c’est chouette, ça se regarde, on retrouve du familier un peu modifié (mais pas trop) mais c’est quand même pas mal du réchauffé.

Ces deux volumes ont beau se dérouler cinquante siècles avant la bataille de Yavin, on y retrouve le même esprit que dans l’insurpassable trilogue initiale de « Star Wars ». Sans grande subtilité, Anderson rejoue la vieille rengaine du Bien contre le Mal, de manière très manichéenne et sans surprise, y compris lors de l’épilogue attendu. Les dessins, eux, sont corrects, assez typiques du comic-book maintream de leur époque (la seconde moitié des années ’90). Donc, encore une fois, c’est une lecture potable, distrayante et sans prise de tête. Jamais la BD ne nous tombe des mains en dépit d’une longueur conséquente (environ 300 pages pour les deux volumes) mais jamais on ne se dit, non plus, « ouah c’est cool ». On reste donc fermement ancré dans la moyenne, à tout niveau (dessin, scénario, intérêt pour les amateurs de « l’Histoire » de cet univers). On peut s’en contenter mais faire l’impasse n’est pas dramatique.


Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Star Wars - La Légende des Jedi, Tome 3 : Le ..

Ce troisième volume se passe bien plus tard que les deux premiers et se compose de 3 histoires :

— Ulic Qel-Droma et la guerre des fauves d’Onderon

— La saga de Nomi Sunrider

— Le sacre de Freedon Nadd

Dans le premier récit, on rencontre les jeunes Jedi Ulic et Cay Qel-Droma et Tott Doneeta, tous disciples de Maitre Arca. Ce dernier les envoie en mission sur Onderon afin de pacifier la planète. Malheureusement tout ne se passe pas comme prévu et les jeunes Jedi ont affaire au Côté obscur. Leur mission réussit, mais c’était un test de Maitre Arca et Ulic échoue.

Dans le second récit, on suit le parcours de Nomi, jeune femme sensible à la Force, pour accepter de devenir une Jedi. Marié à un Jedi et mère d’une enfant elle aussi sensible à la Force, elle refuse pourtant de suivre cette voix. À l’assassinat de son mari, elle accomplit la mission de ce dernier en se rendant avec des cristaux auprès de maître Thon. Avec patience, ce dernier finira par la convaincre d’embrasser la voix des Jedi.

Et dans le dernier récit, Ulic et sa bande ainsi que Nomi s’unissent pour mettre une déculottée aux adeptes du côté Obscur et au spectre de Freedon Nadd sur Onderon. Mais le côté Obscur trouve toujours un chemin…

J’avoue ne pas particulièrement apprécier le style graphique de ces 3 histoires, mais c’est le style de son époque. Les trois histoires se goupillent bien et présentent une autre vision des Jedi (maître avec plusieurs élèves, Jedi marié et parent…). J’ai toujours trouvé que Nomi était un préavatar de Mara Jade dans certains aspects. C’est un personnage que j’aime beaucoup. Rien de bien exceptionnel sinon dans cette série, sauf pour découvrir les débuts de la République et si on aime (comme moi) les vieilles légendes et les vieux Sith morts (ou pas).


Lien : http://anaiscience.eklablog...
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Star Wars - La Légende des Jedi, tome 1 : L'âge..

Quand on joue aux jeux vidéos Star Wars (comme KOTOR ou Jedi Knight), on finit toujours pas affronté des vieux Sith morts fantomatiques. Le genre de bougre qui ne semble jamais vouloir mourir. Et bien cette série « La légende des Jedi » nous permet de savoir d’où sortent tous ces macchabées. Et à cette époque — 5000 ans avant Un nouvel espoir, ils sont bien en vie (enfin plus ou moins, mais comme de toute façon ils ne sont jamais vraiment morts…). La République n’est pas du tout celle que nous connaissons même si Coruscant reste le centre « de l’univers ».

Dans ce tome, nous suivons deux aventures différentes. Tout d’abord, les voyages de Gav et Jori Daragon, explorateur fauché en quête de gloire. Après avoir sauté dans l’hyperespace « au pif », ils se retrouvent dans l’Empire Sith. Rappelons qu’à ce moment des faits, les Sith sont une race adepte du côté obscure certes, mais pas uniquement un groupe de maitre du côté obscur comme dans les films. Ces derniers sont en pleine guerre de succession et l’arrivée inopinée des deux explorateurs va permettre à Naga Sadow de prendre le dessus. De l’autre côté, nous avons le Jedi Odan-Urr et la Reine Teta, essayant de pacifier le système de Koros. Odan-Urr est un historien Jedi et il pressent qu’un grand danger guette dans l’ombre…

Tout d’abord, ce que j’aime dans cette série, c’est l’exploration du passé lointain de l’univers Star Wars. J’adore par exemple les sabres lasers qui ont une batterie que les Jedi portent à la ceinture. J’aime aussi l’aspect un peu « égyptisant » de l’univers à ce moment. Et puis bon, on retrouve nos vieux sith morts donc ça c’est cool. J’aime aussi le Jedi Odan-Urr, car il sort un peu du lot des jedi. Que ça soit dans les livres, films ou autres, on les présente plus comme des « personnages d’actions », alors que lui et calme et posé. Si on le laissait, il ne mettrait pas un pied dehors pour se consacrer à l’étude. C’est une chose qui manque un peu dans l’univers SW (à mon goût).

Par contre, je n’aime pas trop le dessin et la coloration de ces « vieux » comics. Certes c’est un style particulier, mais qui ne me convient pas vraiment.

Une série en 6 tomes que j’ai hâte de finir. D’ailleurs je cherche les tomes 5 et 6 si par hasard quelqu’un les a (à prêter ou à vendre).

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Star Wars - La Légende des Jedi, tome 1 : L'âge..

fan de star wars de la première heure, la mayonnaise ne prend malheureusement pas, la trame est cousue de fil blanc, et même Ariane, sans ce même fil pourrait trouver son chemin dans ce labyrinthe confu et en prévoir la fin.

scénario improbable et dessin indigne de la légende, passez votre chemin. une étoile seulement, et presque une deathstar, car cela reste star wars
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