Son obsession demeurait la même depuis quatre jours : aller se perdre dans l'océan et rejoindre définitivement ce qu'il aimait par-dessus tout : l'eau. L'eau des grand fonds de Souillac, l'eau de son enfance, l'eau qu'il avait toujours connue, depuis son plus jeune âge. L'eau qui porte les bateaux, qui chuchote le long des rives, l'eau qui vibre et qui vit, qui se fond dans le ciel au bout de l'horizon, l'eau dont la caresse ressemble à celle des bras de Marie.