A Ussel, il le firent descendre à l'hôtel de police, téléphonèrent à la Gestapo de Tulle. Il semblaient le connaître. Ils ne lui avaient même pas demandé son nom. Ils l'embarquèrent dans une deuxième traction qui partit vers Tulle dans la pluie et le vent, tandis qu'il s'efforçait de se préparer à ce qui l'attendait.