Oui, au pays de Descartes, convoquons la raison. Cogito ergo sum. Chacun est responsable de ses actes et doit en répondre. Ne renonçons pas cependant à disséquer la mécanique de cet embrigadement sectaire, ni à déceler les insatisfactions qui le servent. Agir ainsi n'induit aucune atténuation de la gravité des crimes commis. Et quelles que soient les clameurs hypocrites ou affolées qu'elle soulève, cette décision d'explorer, de comprendre et de vaincre est inébranlable.