Partir. Rupture. Et tout recommence. Fin des habitudes d'être et de penser, la vie à réinventer. Tel est le grand mérite du voyage. Créer la rupture. Laisser derrière soi le fatras des vieux papiers, idées, connaissances, problèmes, ennuis et autre quincaillerie dont nous entendons à chaque pas le tintamarre. Se sortir de la routine où l'on se débat, déplacer l'horizon mental qui nous enferme, en repousser au plus loin les limites, gagner une vision nouvelle, une perspective différente, une plus grande ouverture, en un mot: le large- et obtenir d'autres réponses, peut-être.(p. 12)