Le don doit être mû par un pur sentiment d'amour désintéressé, accompli avec la fluidité d'un esprit libre de toute forme de saisie. De même, la patience ne doit pas procéder d'une vertu crispée qui se martyrise en étant patiente, mais d'une invulnérabilité souriante et légère surgie d'une vraie liberté intérieure.