Par l’entrebâillement de la porte, elle voyait parfaitement dans le reflet du miroir ce qui se déroulait dans la chambre : Maud était debout devant le bureau, le visage enfoui dans son écharpe et semblait s’en délecter. Après avoir éloigné l’étoffe et l’avoir observée quelques seconde, elle se dirigea vers la commode pour récupérer la sienne et l’échanger contre celle de Sophie.