Au terme d'une sélection naturelle des spécimens les plus forts opérée à travers les siècles, les mâles alpha finissent souvent gâtés en terme d'attributs physiques, telles la taille, la force, la force ou la beauté, d'où leur succès auprès des filles. Le gène du mâle bêta a néanmoins survécu, non pas en affrontant l'adversité, mais en l'anticipant et en l'évitant. Pendant que le mâle alpha courait après les mastodontes, le mâle bêta savait déjà que s'en prendre à ces énormes bulldozers poilus, armé d'un bâton pointu, s'avérait être une aventure vouée à l'échec. Il préférait donc rester au camp à consoler les veuves éplorées.