Leurs jumelles ressemblaient de plus en plus à des femmes, mais n’en avaient pas la maturité. Il y aurait sûrement un mâle pour remarquer leurs poitrines plus généreuses, leurs longues jambes, l’éclat de leur teint. Elles plairaient aux hommes. Elles verraient une certaine lueur s’allumer dans les regards qu’ils poseraient sur elles, et elles s’en délecteraient, en joueraient, apprenties sorcières trop naïves.