Je pose une main délicate sur le front de Dylan et caresse ses cheveux. Ils repoussent en fines mèches claires, comme quand il était bébé. Seront-ils toujours bouclés ? Vireront-ils au brun, comme quand il a fêté ses deux ans ? Du doigt, je suis la courbe de son nez en prenant soin d’éviter le tuyau étroit qui serpente par l’une de ses narines jusqu’à son estomac.