Paris ne me semble qu'une gigantesque soustraction, avec ses avenues propres et alignées, sans dos d'âne ni fatras. (...)
Partout des faces pâles et des nez pointus; des traits creusés par la solitude ,le froid, la pluie , l'anxiété, l'arrivisme ou la misère; ce mélange de fatigue psychique et de carence spirituelle propre aux peuples finissants. (...)
L'ultime vertu de Paris, à mes yeux, est de me faire à nouveau aimer mes semblables, dès que je m'en éloigne. (p. 96)