" [...] Je me dis que si j'ai une impression si sournoise de découragement, de désespoir, c'est parce que mon corps est découragé, que mes poumons désespèrent de jamais plus se remplir librement d'air, que mon coeur est comme un vieux moteur qui tousse, et que ce que je pense du monde n'a pas plus de valeur que l'image qu'en donnent des jumelles aux lentilles salies et embuées."