Claudette Joannis

Quel magnifique bouquin.



Chaque bijou est présenté avec son pendant pictural. C'est vraiment un joli bouquin.

Chaque page est également agrémentée d'un commentaire historique.



J'ai, aussi, apprécié la préface d'Adrien Goetz, je ne suis pas fan des préfaces en général car je les trouve souvent pompeuses et ampoulées. Mais ici, j'ai été séduite par le style d'Adrien Goetz,



un regard sur babélio m'a permis d'apprendre que le Monsieur est écrivain, je pense que je me laisserai tenter par un de ces bouquins un de ces jours. En espérant retrouver le même style que dans la préface.

Je n'avais aucune idée qu'il existait des collectionneurs de porte-monnaie avant d'avoir lu ce documentaire. Claudette Joanis ainsi que de nombreux conservateurs et autres nous content l'histoire du porte-monnaie à travers les âges.

De nombreuses illustrations accompagnent les textes. Ainsi, porte-monnaie en nacre, en faux bois, en écaille, en ivoire, en métal, en broderie, celluloïd, en cuir aussi, etc... traversent les âges pour notre plus grand plaisir.



Certes, ce livre est destiné aux collectionneurs mais j'ai pu de mon côté, apprendre bien des choses concernant ce bel outil que nous utilisons encore de nos jours.

J'ai donc passé un bon moment à lire l'histoire du porte monnaie et j'ai pu admirer grâce aux nombreuses illustrations, les différents porte-monnaie.

C'est pour le challenge multidéfis que j'ai lu cette biographie. De Sarah Bernhardt je savais peu de choses et en plus elles étaient très approximatives, je pensais notamment qu'elle s'était produit au début du XXème siècle alors que sa carrière débute bien avant.

Autant vous dire que cette lecture a donc été très instructive pour moi. Elle peut s'aborder facilement même si vous n'avez pas de connaissances préalables. Cette biographie est assez succinte et aborde de nombreux aspects de la vie de la comédienne. Outre les traditionnels enfance et vie privée, l'auteure s'attache à des aspects moins souvent évoqués: Sarah était aussi peintre et sculptrice, elle avait une vision sublimée de la mort (elle dormait dans un cercueil)

Une biographie assez facile à lire. J'ai quand même trouvé quelques longueurs dans les descriptions de bijoux, vêtements, maisons de l'actrice.

C'est dans la poche ! L'histoire du porte-monnaie....



Bon... et je soupire... d'abord merci a Babélio, à Masse critique et aux Édition Faton pour l'envoi de ce livre...

Qui est une honte sans nom !

Voilà c'est dit !

Envie de poser la question « mais dites vous avez pas honte ? »... de vous moquer de nous comme ça ? Sérieusement ?

C'est pas l'histoire du porte-monnaie que vous auriez du écrire comme titre, c'est « Catalogue de la collection de Monsieur Joannis-Deberne, pour l'exposition organisé par madame Joannis Claudette conservateur en chef honoraire du patrimoine.... et les copains...



Ha ça... y a de l'ego dans ce livre... l'ego remplace l'histoire, n'allons surtout pas mettre une illustration autre que la collection personnelle de Monsieur Joannis-Deberne, même si ça pourrait s'avérer intéressant et illustrer l'histoire véritable du porte monnaie... parce que l'histoire ne s’arrête pas à la collection de Monsieur machin !

- Nan mais vous avez pas honte ?

- Ah ça c'est vu ?

- Ouais plutôt... C'te foutage de gueule...



Retrouver le nom de ces gens à toutes les pages.... à la fin j'avais envie de vomir... se demander qui a financé cette expo... et je sens que risque de devenir vulgaire...



J'aime pas qu'on mente aux lecteurs, qu'on les prennent pour des imbéciles... le bouquin se serait appelé catalogue de la collection de machin.... j'aurais rien eu à dire... ou même des trucs plutôt sympa, ce monsieur à en effet une jolie collection de porte-monnaie, intéressante et amusante... et Où l'on découvre des choses.



Mais là ce titre c'est du vent, du flan, parce que ce livre n'est que de l'entre soit, auto congratulation et gonflage d'ego pour salon feutré et dorure... et ça se voit...

Sarah Bernhardt est un personnage qui me fascine depuis un long moment maintenant. Petite, j’ai pu la découvrir dans une BD Lucky Luke (appartenant à mes grands-parents), tandis qu’en 2016 j’ai eu l’occasion de l’imaginer sur son fort, à Belle-Île-en-Mer. De son apparence physique, de sa personnalité, j’en savais finalement assez peu. Lorsque j’ai reçu cette biographie, offerte par mon petit-frère à l’occasion de mon anniversaire, il me tardait donc d’ouvrir cet écrit et de me plonger dans le vécu de cette personnalité qui a inspiré bon nombre de ses contemporains.



Avec cette biographie, Claudette Joannis signe une bonne entrée en matière pour qui ne connaîtrait pas encore Sarah Bernhardt. De son enfance malheureuse à ses débuts au théâtre, en passant par ses liaisons amoureuses (courtes et tumultueuses), le lecteur se fait rapidement une première idée du caractère de cette actrice française. Entière, passionnée, Sarah Bernhardt l’était sans doute. De son talent pour les pièces tragiques en passant par l’aménagement de ses logements, rien n’était fait dans la demi-mesure. J’ai ainsi appris qu’elle pouvait vivre dans un total désordre, entourée d’oiseaux exotiques, d’un crocodile, et même de lions rapportés de ses voyages ! La simplicité n’était donc pas vraiment de mise. Pour autant, Sarah Bernhardt présente un certain côté attachant. Enfant, elle a quasiment été abandonnée par sa mère pour être confiée chez une nourrice en Bretagne. Adolescente, elle a grandi chez les Sœurs. On imagine alors une personne en manque d’amour, qui n’aura de cesse de le rechercher dans ses histoires sentimentales, ou encore dans la fascination dont elle pouvait être l’objet.



Car oui, Sarah Bernhardt fascine. J’ai été étonnée d’apprendre que Victor Hugo la vénérait presque, tandis qu’elle était une grande amie d’Alexandre Dumas ou d’Edmond Rostand (à l’origine des termes “reine de l’attitude et princesses des gestes” la qualifiant). Sarah Bernhardt était aussi une grande voyageuse, n’hésitant pas à se rendre jusqu’aux États-Unis pour faire découvrir son talent. Et bien sûr… il y a ses fameuses douleurs au genou qui lui vaudront une amputation de la jambe en 1915. Pour autant, et ce jusqu’à la fin de sa vie, Sarah Bernhardt n’exprimera qu’une envie : monter sur scène, encore et encore. Le portrait dressé par l’auteure est donc on ne peut plus intéressant. Rousse, à la silhouette mince (quasi androgyne), le physique de Sarah Bernhardt se situait aux antipodes des canons de beauté de l’époque. Pour autant, elle aura réussi à conquérir son public et à se faire une place au soleil.



J’ai grandement apprécié cette biographie tant elle se montre concise, et paradoxalement assez complète. Claudette Joannis ne s’attarde cependant pas sur certains aspects qui avaient pu défrayer la chronique à l’époque : la prétendue homosexualité de l’actrice ou encore ses colères monumentales. Pour autant, quelques illustrations (situées au milieu de l’ouvrage) sont une vraie plus-value. Grâce à cette biographie, on peut dire que j’ai beaucoup appris sur Sarah Bernhardt. Pour les lecteurs recherchant un écrit encore plus complet ou plus intime, ils peuvent tout à fait se tourner vers Sarah Bernhardt, ma grand-mère (de Lysiane Bernhardt). Les ouvrages ne manquent en tout cas pas.
Lien : https://labibliothequedebene..

La fille de Youle, qui, de Quimperlé aux Grands Champs de Versailles, par la rue Saint Honoré et la place du Palais Royal grandira.



Alors que la Maison de Molière se ferme à elle, les tirades se font d'or à la place du Châtelet.



Hamlet et Ruy Blàs se rivalisent alors que Phèdre et Hernani se font échos aux rappels des planches de la Comédie française.



De l'Odéon à la Meuse, les cicatrices se sont rouvertes et l'infirmière se fait porteuse d'espoirs et de rêveries contre l'horreur de l'instant.



L'impératrice du théâtre à la voix d'or devint ce premier monstre sacré, tant décrié en d'autres temps.



La voyante de Sacha s'éteindra boulevard Péreire aux yeux de son fils, ce 26 mars 1923.



Lever de rideaux à découvrir et apprécier sans modération et respect.

Un ouvrage documentaire très riche sur la vie de Joséphine et tout particulièrement sur sa façon d'envisager et d'influencer la Mode (en même temps, elle n'avait pas grand-chose d'autres à faire^^). Ces belles photos sont pleines de détails utiles et donnent envie d'aller à la Malmaison voir tout ça de plus près !

Le porte-monnaie, accessoire que l'on a tous. De formes, couleurs, textures, bois, nacre, cuir, bijou... tous différents des uns des autres et pourtant avec la même fonction.

Dans cet ouvrage nous remontons les années avec la collection de M Joannis-Deberne.

Cette collection rend hommages aux métiers d'arts.

Porté à la ceinture, caché dans le corset, dans une poche, dans un sac... parfois indispensable d'être vu pour montrer son statut social.

Le porte-monnaie accueille parfois : un mouchoir de tissu, nécessaire à moustache, trousse de couture, maquillage, parfum...

Tout est raffiné, délicat et démontre une certaine élégance ou rang social au fil des années.

C'est un indispensable qui n'est pas prêt de disparaître !
Lien : https://masatgieraa.blogspot..